EPS au lycée

Au mois de janvier 2018, les élèves de seconde 4 option EPS ont effectué leur traditionnel stage à la montagne.  Comme  un  plaisir  ne  vient  jamais  seul,  ils  ont  dû  réaliser  quelques  petits  travaux d'écriture à cette occasion : vous trouverez, d'une part, le début d'une nouvelle que les élèves avaient à  achever  —  en  respectant  quelques  contraintes  d'écriture  précises  —  et  d'autre  part  leurs productions. A vous de juger quel groupe s'est le mieux sorti de cette affaire qui n'était pas mince…
 
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Il s'agissait donc d'élire les meilleures nouvelles rédigées par les élèves de l'option EPS (seconde 6) durant le stage de ski. 

Nous avons surmonté l'attaque de hackers déterminés qui ont tenté d'altérer la sincérité du vote mais rien n'a pu triompher des équipes informatiques du lycée Jean Aicard. Ainsi, nous aurons échappé de justesse à un " OptionsportLeaks" (profitons-en pour couper court aux rumeurs : Monsieur Erisey n'a pas de compte aux îles Caïman (d'ailleurs il ne goûte pas les longs trajets en avion et préfère le climat vivifiant de la Suisse). 

Un grand merci aux parents, aux élèves ainsi qu'aux collègues qui ont pris le temps de lire ces textes et de me faire connaître leur préférence. 

 

Voici les lauréats : 

  1. Texte A : Léa Jeunesse, Emma Jacoillot et Célia Issartel
  2. Texte E : Marilou Rieu, Clara Suner, Lou Sibille et Mathilde Lerat
  3. Texte C : Lola Martin, Marlène Salas, Kenza Augustin
  4. Texte G : Erwann Marziou, Alexandre Perez.

 

 

 

Durant leur stage de ski effectué au mois de janvier dernier, les élèves de seconde 6 option sport ont été soumis à une épreuve bien plus périlleuse qu'une banale descente de piste noire : ils ont dû ECRIRE.

Ils disposaient de la première page d'une nouvelle policière qui mettait en scène leurs professeurs, à charge pour eux d'en rédiger les chapitres suivants. Pour corser l'exercice, ils étaient soumis à des contraintes d'écriture précises qui variaient d'un chapitre à l'autre. Enfin, pour couronner le tout, ils devaient mettre en pratique les connaissances acquises en Méthodes et Pratiques Scientifiques, enseignement dispensé par Madame Bedjaï, qui a participé à la conception de la nouvelle.

Vous trouverez en pièce jointe le texte de base ainsi que les productions (anonymées) des élèves. A vous de juger les travaux de nos Conan Doyle en herbe. Si vous pouviez voter pour votre (vos) nouvelle(s) préférée(s), les élèves et moi-même vous en serions très reconnaissants (à la suite de l'article ou par mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.).

Toutes mes excuses à Monsieur Erisey, éminent professeur de Sciences économiques, dont le sort a été scellé dès les premières lignes de la nouvelle...

 

Laurent Sbernini

 

 

La chair est triste, hélas ! et j’ai lu tous les livres.
Fuir ! là-bas fuir ! Je sens que des oiseaux sont ivres
D’être parmi l’écume inconnue et les cieux !
Rien, ni les vieux jardins reflétés par les yeux
Ne retiendra ce coeur qui dans la mer se trempe
Ô nuits ! ni la clarté déserte de ma lampe
Sur le vide papier que la blancheur défend
Et ni la jeune femme allaitant son enfant.
Je partirai ! Steamer balançant ta mâture,
Lève l’ancre pour une exotique nature !

magritte3844

Certes, ils n'ont pas — encore — lu tous les livres mais ils ont pu, du moins, défier la Grande Bleue. Fin septembre, la classe de seconde 6, dans le cadre de l'option EPS, a en effet participé à un stage de voile. Voici leur article.

A la fin du mois de septembre 2015, les élèves de seconde 6 de l'option EPS ont suivi, comme chaque

année, un stage de voile. Comme chaque année ? Pas tout à fait... La météo, qui ne respecte rien, leur a

quelque peu compliqué la tâche...

 

 

Claude Monet, « Régates à Argenteuil », 1872

Claude Monet, « Régates à Argenteuil », 1872

 

Ç

a y est, c'est le départ. L'excitation était au rendez-vous. Bien évidemment, Samuel, le délégué qui plus est, était en retard. Il marchait sans s'en soucier... Heureusement que M.Margotat, avec sa bonté légendaire, fit stopper le bus afin de faire monter le retardataire.